Nicolas a beaucoup souffert du manque de nourriture pendant l'aventure ! Le candidat de la nouvelle saison de Koh-Lanta, le feu sacré, est le premier à avoir obtenu sa place pour l'épreuve mythique des poteaux. Dans l'épisode diffusé ce mardi 6 juin, il a fait preuve d'une concentration et d'un sang-froid exceptionnel pendant l'épreuve de l'orientation qui a pourtant donné du fil à retordre à Julie, Frédéric et Tania. En effet, Nicolas a trouvé son poignard en un temps record et a prouvé encore une fois qu'il était un aventurier à part entière. Cependant, il a récemment expliqué dans un entretien accordé à 750g avoir beaucoup souffert du manque de nourriture sur le camp, comme beaucoup d'autres candidats avant lui. "Je ne vais pas vous mentir on souffre. Pour moi, c'est devenu une obsession et peut-être la plus grosse difficulté de mon aventure. Plus qu'un manque c'est une privation. On mange vraiment très très peu contrairement à certaines idées reçues", a-t-il confié à nos confrères.
Nicolas a d'ailleurs trouvé quelques solutions pour l'aider à pallier ce manque extrêmement difficile pendant l'aventure. "Je buvais énormément d'eau, j'avais une phobie d'être blessé, d'attraper des tendinites ou autres blessures. Du coup, ma gourde ne me quittait jamais et ça me permettait de garder l'estomac à moitié plein. J'ai aussi comblé ce manque par la recherche de nourriture en permanence et ça m'occupait l'esprit avant tout en me faisant penser à autre chose...", a-t-il raconté. Le candidat a avoué qu'il avait rencontré quelques difficultés pour se réadapter à la nourriture à la fin du tournage. "Cela n'a pas été simple de reprendre une alimentation normale. J'ai mis, je pense bien deux mois presque à manger normalement. Je suis revenu de l'aventure je ne pensais qu'à manger", a confié le finaliste.
En effet, Nicolas avait besoin de manger "[son] entrée-plat-dessert", et ce, avec des quantités parfois très importantes pour pallier ses envies après l'aventure. "Je me suis mis des règles pour manger sainement et j'ai été aidé par mes proches notamment ma femme qui devait me dire 'stop' parfois. J'étais prêt à dévorer systématiquement le double ou le triple de quantités nécessaires", a-t-il continué. Avant de conclure, "Progressivement, j'ai pu diminuer les quantités dans l'assiette. Le sport m'a également beaucoup aidé. Mais j'ai vraiment senti que le cerveau avait été marqué par cette aventure."