Une décision, ou plutôt deux, qu'il a commentées à chaud en fin de journée. Au micro de 'Sky Sport', Leclerc a tout d'abord expliqué la raison du passage du dur au médium à l'approche de l'averse. "Nous avons eu du mal à la fin du relais en pneus durs", a admis le pilote Ferrari, "Honnêtement, c'est quelque chose d'un peu étrange, parce qu'avant ce moment-là, les pneus allaient très bien. Nous avons trouvé un moyen de mieux gérer les pneus arrière, mais à un certain moment ils se sont effondrés et nous avons eu beaucoup de mal.
Il ne fait aucun doute que nous devrons beaucoup travailler sur ce point, car nous savons que la gestion des pneus reste un point faible pour nous" Leclerc a ensuite parlé de l'arrêt au stand tardif pour passer aux pneus pluie : "Là, nous étions conscients des risques que nous prenions en restant sur la piste. Maintenant que la course est terminée, il est évident que nous aurions dû rentrer au stand plus tôt. Mais disons que dans ces conditions, quand il pleut et qu'il y a tant de voitures en slicks sur la piste, il est plus souvent payant de rester dehors et d'attendre une éventuelle voiture de sécurité avant de rentrer aux stands. Mais la voiture de sécurité n'est jamais venue et nous avons perdu quelques positions. C'était un choix.